Jusqu’à la Révolution il exerça rue de Charenton puis transféra son atelier rue des Fossés-du-Temple. Il excella dans la fabrication des meubles de luxe exécutés avec beaucoup de goût mais d’une façon plutôt austère. La marqueterie est quasi inexistante. De fins encadrements de bronze entourent de larges feuilles de placage d’acajou et parfois de bois de rose. Toute sa production démontre un grand souci du détail et de la perfection.