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DHURMER Lucien, artiste Symboliste français

Artiste multidisciplinaire, Lucien Lévy-DHURMER est un symboliste qui réalise, en plus de ses peintures et dessins, des céramiques, du mobilier et de la décoration d’intérieur.

Lucien Lévy-DHURMER, de son vrai nom Lucien Lévy, naît le 30 septembre 1865 dans une famille juive d’Alger (Algérie).

Il est un symboliste français, qui prend également part à l’art nouveau, dont les œuvres comprennent des peintures, des dessins, des céramiques, du mobilier et de la décoration d’intérieur.

Début comme artiste

En 1879, il entreprend des études en dessin et en sculpture à Paris.

Il expose d’abord au Salon de Paris de 1882, où il présente une petite plaque en céramique.

Décorateur de céramique

En 1887, Lévy s’établit près de Cannes dans le sud de la France, où il travaille dans la décoration des céramiques.

De 1886 à 1895, il travaille comme décorateur de céramique, puis en tant que directeur artistique de l’atelier de Clément Massier.

Vers 1892, il signe ses premiers morceaux de céramique, influencés par l’art islamique.

En 1895, il part à Paris pour commencer une carrière dans la peinture. À cette époque, il visite l’Italie et est influencé par l’art de la Renaissance.

Première exposition de peinture

En 1896, il expose ses premiers pastels et des peintures sous le nom de Lucien Lévy-DHURMER. Il a ajouté à son nom les deux dernières syllabes du nom de jeune fille de sa mère (Goldhurmer).

Ses peintures connaissent un succès rapide parmi le public ses collègues artistes.

Il remporte des critiques élogieuses pour son attention aux détails et à la manière dont il expose les visages dans une brume mélancolique, en contraste avec une coloration impressionniste lumineuse.

Son portrait de l’écrivain Georges Rodenbach est peut-être l’exemple le plus frappant de cette synergie étrange et extraordinaire.

Lucien Dhurmer

Inspirations de l’artiste

Après 1901, Lévy-DHURMER s’éloigne du contenu expressément symboliste, incorporant davantage de paysages dans son travail en raison de ses voyages en Europe et en Afrique du Nord.

Il continue de s’inspirer de la musique et tente de reproduire en peinture des œuvres de grands compositeurs, tels que Beethoven.

Vie personnelle

En 1914, il épouse Emmy Fournie, qui a été, auparavant, rédactrice en chef du journal féministe La Fronde.

À cette époque, il travaille principalement sur des paysages, à l’huile et au pastel, dans un style similaire à celui de Whistler ou de Monet.

Il meurt en 1953 au Vésinet.

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